Après quelques années de tergiversations, les domaines de construction de véhicules et de concessionnaire automobile, en Algérie, connaissent un dénouement pouvant répondre aux attentes du consommateur algérien.

Dans ce qui suit, sont résumés le « Nouveau dispositif portant sur l’activité de construction de véhicules » ainsi que l’essentiel des grands axes liés au « Concessionnaire et (à la) commercialisation de véhicules automobiles neufs, ce qu’il faut savoir sur le nouveau décret 2022 ».

Le marché national des assurances, notamment l’assurance « Automobile », connaitra certainement un autre rythme de croissance, à la lumière du nouveau contexte de construction automobile en Algérie. Ces nouveautés relatives à la construction de véhicules neufs sur le territoire national et les concessionnaires automobile qui y sont agréés, sous des conditions mieux étudiées, vont avoir des retombées certaines sur le marché des assurances, en particulier, et l’économie nationale, en général.

Il s’agit, à travers ce résumé, d’un condensé de l’évolution du cadre juridique du secteur national de l’automobile qui demeure lié aux assurances dont celles de la branche « Automobile » qui génère près de la moitié du chiffre d’affaires global du marché des assurances. Pour rappel, ces dernières années, le marché de l’assurance « Automobile » a subi les contrecoups de la fermeture des usines de montage et la cessation de l’importation des véhicules neufs.

La reprise annoncée du secteur de l’industrie de construction de véhicules neufs et de l’activité des concessionnaires devra permettre le retour des partenariats avec les assureurs, du fait que l’assurance est souvent l’un des arguments de vente. Idem, en ce qui concerne l’assurance « Crédit », tout comme, en matière de conformité et de sécurité, les assureurs devraient prendre en compte les dispositions des cahiers des charges en matière d’assurances des infrastructures et/ou des produits commercialisés par les concessionnaires et constructeurs de véhicules neufs.