Le monde de l’entreprise est soumis aux mêmes règles de performances que n’importe quelle société qui vise l’excellence et qui se traduit par la production de rapports d’activité pointus destinés, en premier lieu aux assemblées générales ainsi qu’aux conseils d’administration de ces mêmes compagnies. Les résultats qui en découlent, donnent une orientation aux cadres dirigeants qui scrutent les moindres détails, sur la productivité de leurs salariés et de leur engagement vis-à-vis de l’entreprise.
A partir des années 80, une mini-révolution a fait bouger les lignes à travers le décret 80-48, qui a vu l’institutionnalisation d’un système de rendement individuel et collectif, instituant de la sorte un statut égalitaire entre les salariés. Ce procédé a permis une certaine stimulation entre les employés.
Les premiers à l’avoir bien compris, ce sont les responsables des Ressources Humaines, en dépoussiérant les contraintes archaïques du siècle dernier où les performances des salariés n’étaient pas valorisées à leur juste valeur.
La promotion de la culture de l’excellence a montré son efficacité en inculquant aux salariés, cadres dirigeants et salariés non dirigeants, des objectifs « enfouis » mais jamais exploités à bon escient.
L’implication de soi et le professionnalisme sont des boosters qui peuvent changer le visage de la compagnie en accompagnant les performances de ses salariés par des compensations pécuniaires et qui pousseront ces derniers à plus de résultats. Cette compensation monétaire se traduira en fonction de l’évaluation de notation de chacun.
La contribution du CNA, au travers de ce Référentiel sur la mobilisation des salariés du secteur, réalisé en collaboration avec le cabinet d’études spécialisé « Partenaire »,vise à hisser les compétences des nombreux acteurs du secteur des assurances en Algérie vers le haut pour valoriser le travail de chacun dans un secteur en perpétuelle mutation.
2001
